Bruno Sporcq, archetier installé à Saint-Denis, près de Mons, se consacre, en plus de son activité de production, à une recherche la plus complète possible sur les archets anciens, des débuts en Europe jusqu’à l’avènement de l’archet moderne, fin XVIIIe.
Fils de parents musiciens passionnés de musique ancienne, il vient à la facture instrumentale en autodidacte au début des années ’90. Après avoir construit quelques violes de gambes et rebecs, il travaille chez Ivan de Halleux à la fabrication d’une copie d’un clavecin de Johannes Dulcken, tout en commençant, parallèlement, la facture d’archets anciens, soutenu et (in)formé par des amis musiciens.